TOURNOI ESOA 2017 :
FILM DE LA JOURNÉE
La victoire au tournoi de KALARA de Mai 2017 avait eu le mérite de mettre notre jeune association sur un piédestal. On pensait alors que tout était au beau fixe et que les futurs tournois de la ville de Bruxelles en particulier et même de la région du Benelux en général ne seraient que des formalités tant le CÉSAR avait survolé ce tournoi. Cependant c’était sans compter sur les multiples problèmes qui jusqu’aujourd’hui miment le fonctionnement du CESAR. Les récents résultats au tournoi de Namur du 10-06-2017, mais aussi celui de samedi dernier ESOA 2017 nous ont sans doute permis de comprendre que beaucoup reste encore à faire et que se maintenir au sommet de la pyramide sera un boulot de dur labeur.
RÉCIT D’UNE JOURNÉE CAUCHEMARDESQUE
L’arrivée
Le décor a été planté très tôt le matin du 24-06-2017 où les organisateurs du tournoi le plus engagé de la ville de Bruxelles n’ont pas dérogé à leurs règles de ponctualité. Il était 7h heures lorsque ceux-ci sont arrivés sur les lieux du tournoi (le complexe SIPPELBERG de la commune de MOLENBECK). Les premières équipes quant à elle sont arrivées aux alentours de 8h30. Dans la foulée les premiers verdicts ont été prononcés, avec notamment les forfaits de certaines équipes qui n’avaient pas respecté la ponctualité.
Phase de poules
Avec un total de 12 équipes réparties en trois sous-poules de 4 équipes chacune, les premières rencontres ont débuté vers 9h du matin. Etant dans la poule A avec trois autres participants (ULS, Etudiants Italie, et FC Romania), plutôt inconnues de nos responsables sportifs, le César avait toutes les faveurs des bookmakers. Qu’ils soient de Betclic, de Ladbrokes, de Bet365 et même de Parions Sport ceux-ci donnaient le césar super favori à 10 contre 1 pour la victoire finale.
Le premier match côté césar a été celui de toutes les émotions. Opposé à Union Latin Star (ULS), les hommes du coach Vinny ont eu une belle entame de match même si quelques petits problèmes de réglages dans l’antre-jeu empêchaient la mayonnaise de prendre. La confrontation c’est plutôt équilibrée vers le premier quart d’heure de jeu même si quelques minutes après le césar concédait un pénalty sur une faute de son gardien Omer (le Chat). Heureusement, plus de peur que de mal, sur une parade dont lui seul a le secret le Chat réussissait à stopper ce pénalty, telle une belle preuve de rachat. A la fin de cette rencontre, Nao sur une passe de Bertino ne réussissait pas à inscrire son nom au tableau d’affichage, et le score de 0 buts partout sanctionnait ainsi cette rencontre.
.
.
Le deuxième match baptisé le match de tous les espoirs nous a plus desservis que servi. En effet il s’agit de celui opposant le césar asbl à étudiants Italie. En effet les hommes du coach Vinny avaient tellement envie de redresser la pente qu’ils ont été pris à leur propre piège par une équipe d’italiens très bien en place. Résultat après le coup de sifflet final 3 buts à 0 en faveur de Etudiants Italiens.
Le troisième match quant à lui sonnait plus match de divertissement qu’autre chose. Avec un match nul et une lourde défaite au compteur, la messe était quasiment dite, il était alors question de faire participer tout le monde à la fête raison pour laquelle le coach Vinny a préféré accorder un peu de temps de jeu aux joueurs qui en avaient besoin. Score à la fin u troisième match 2 buts à 1 en faveur du FC Romania.
Tableaux récapitulatifs
| CESAR Vs ULS | 0 – 0 |
| ETUDIANTS ITALIE Vs CESAR | 3 – 0 |
| FC ROMANIA Vs CESAR | 2 – 1 |
Classement final
| ETUDIANTS ITALIE | 9 Points |
| UNION LATIN STAR (ULS) | 4 Points |
| FC ROMANIA | 3 Points |
| CESAR ASBL | 1 Points |
UNE JOURNÉE Á OUBLIER
Arrivés avec beaucoup de rage à ce tournoi, les hommes du coach Vinny avaient à cœur joie de faire bonne impression à cet évènement. Il était question de faire au moins mieux que lors du précédent tournoi où ceux-ci n’avait pas su traverser la phase des poules. Malheureusement les résultats observés pour le compte de ce tournoi et surtout avec toutes les attentes placées en cette valeureuse équipe du CESAR, on a tout de suite compris que le boulot à faire reste énorme, comme quoi arriver au sommet c’est difficile mais s’y maintenir c’est encore plus dure.